Vous qui peinez et souffrez, venez confier les nœuds de votre vie à celle qui peut tout auprès du Seigneur ! En ce mois de mai, tournons-nous tout spécialement vers Marie !

 

Pourquoi la neuvaine à « Marie qui défait les noeuds » ?

C’est Saint Irénée, qui a inspiré l’auteur du tableau, qui nous en donne la clef.
Il écrit : « Eve, par sa désobéissance, fit le noeud du malheur pour l’humanité ; alors qu’au contraire, Marie, par son obéissance, le dénoua. »

 » Marie qui défait les noeuds  » a été admirablement peinte par Johann Melchior Schmidtner. Son tableau est vénéré dans l’église de St Peter am Perlach à Augsburg en Allemagne depuis 1700.

Dans les années 1990, le cardinal Jorge Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, rapporte en Argentine quelques copies du tableau.
Le tableau de Marie qui défait les noeuds fait rapidement l’objet de manifestations de piété populaire. Notamment dans la paroisse de San José Bautista où le curé, le père Juan Ramon Celeiro écrit pour ses paroissiens, puis pour le grand public, la neuvaine par laquelle débute le renouveau à la dévotion à Marie qui défait les noeuds.

Le Sauveur nous a été donné par Marie ; par Marie, tous les noeuds de nos vies peuvent être défaits. Des noeuds ? C’est le lot de tous les hommes marqués par le péché originel, de laisser se former des noeuds, ou, comme on dit aujourd’hui, des problèmes que l’on traîne des années sans en voir l’issue… tous ces noeuds qui nous semblent impossibles à défaire et nous sombrent dans le malheur ou nous détournent du bonheur qui est à portée de chacun, tous les vices qui étouffent l’âme et anesthésient la joie.
Au cours de la neuvaine rythmée par des prières propres à chaque jour, avec sa douceur maternelle,
« Marie qui défait les noeuds » nous invite à reconnaître tous ces noeuds qui nous accablent, à les nommer, et à les lui donner…

La neuvaine est disponible sous forme de livret.

Pour en savoir plus :

http://www.mariequidefaitlesnoeuds.net